Cuba

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República de Cuba (es)
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République de Cuba (fr)
Drapeau de Cuba Armoiries de Cuba
(Détails) (Détails)
Devise nationale : Patria o muerte, venceremos
(en espagnol : La patrie ou la mort, nous vaincrons)
Langue officielle Espagnol
Capitale La Havane
Plus grande ville La Havane
Forme de l’État
 - Président
République
Raúl Castro Ruz
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 103e
110 861 km²
Négligeable
Population
 - Totale (2002)
 - Densité
Classé 66e
11 184 023 hab.
110,9 hab./km²
Indépendance
 - Déclarée
- Reconnue
- Révolution cubaine
De l'Espagne
10 octobre 1868
10 décembre 1898
1er janvier 1959
Pays limitrophes États-Unis États-Unis Prison de Guantánamo
Gentilé Cubain, cubaine
IDH (2005) 0,838 (élevé) 51e
Monnaie Peso cubain (CUP)
Fuseau horaire UTC -5
Hymne national La Bayamesa
Domaine internet .cu
Indicatif
téléphonique
+53

La République de Cuba est formée de l'île de Cuba (la plus grande île des grandes Antilles), de l'île aux Pins (appelée île de la Jeunesse depuis 1976) et de quelques autres petites îles. Elle est située, au nord des Antilles, à la confluence de la mer des Caraïbes, du golfe du Mexique et de l'océan Atlantique; au sud de la côte est des États-Unis et des Bahamas ; à l'est du Mexique et à l'ouest des îles Turques et Caïques; au nord des Îles Caïmans et de la Jamaïque. Derrière Hispaniola, Cuba est la deuxième île la plus peuplée des Caraïbes avec 11 200 000 habitants (juillet 2002). Sa capitale est La Havane, sa langue officielle l'espagnol et deux monnaies y sont utilisées : le peso cubain et le peso cubain convertible. L´île a été une colonie espagnole de 1492 à 1898. Les Espagnols y ont décimé les tribus indiennes et importé des esclaves africains. La culture cubaine résulte du mélange entre la culture espagnole et africaine. Cuba possède un rayonnement culturel assez important. Depuis 1959 Cuba est une république socialiste.

Sommaire

[modifier] Origine du nom

Le nom Cuba aurait été donné par Christophe Colomb en référence à une terre de l'Alentejo, la ville Vila de Cuba (située dans l'actuel district de Beja, au Portugal) où il vécut. Il l'aurait aussi appelé l'île Juana en l'honneur de la fille des rois catholiques d'Espagne. Selon une autre hypothèse, le nom viendrait du mot Taino cubanacán signifiant « place centrale ».

[modifier] Histoire

Premier voyage de Christophe Colomb
Premier voyage de Christophe Colomb
Icône de détail Article détaillé : Histoire de Cuba.

L'Espagne conquit l'île au cours du XVIe siècle après la découverte de l'île par Christophe Colomb en 1492. La colonisation espagnole durera jusqu'à la signature du traité de Paris en 1898. Au cours de ces quatre siècles, de nouvelles villes verront le jour dont Santiago de Cuba (1514) et La Havane (1515). Mais la population indienne payera un lourd tribut. Elle sera pratiquement décimée en quelques années, de même pour les réserves d'or. L'île se tourna donc vers de nouvelles activités : tabac (plus ou moins 300 millions de cigares par an ainsi qu'une bonne douzaine de milliards de cigarettes brunes ou blondes), café et canne à sucre (héritée de quatre siècles de colonisation espagnole et qui procure à Cuba le plus gros de ses ressources). Cette dernière activité nécessitant une main d'œuvre importante, il sera fait appel aux esclaves africains.

Dans les régions plantées de palmiers royaux trop accidentées pour les machines modernes, des brigades de travailleurs de provinces et de villes différentes et de toutes professions viennent encore couper la canne à la machette. Volontaires, nourris 6 fois par jour, pouvant gagner 5 fois plus qu'un ouvrier ordinaire, ils ont droit à tous les égards. Juste retour des choses : au XVIIIe siècle, le châtiment le plus redouté par l'esclave urbain était d'être vendu aux planteurs de l'intérieur ; prisonniers du domaine, les Noirs ne recevaient ni argent ni éducation.

Rien ne doit se perdre. Une fois le précieux sirop extrait des cannes, les hommes jettent dans les chaudières les tiges pour fabriquer la vapeur qui fait tourner l'usine. Les résidus visqueux tombés au sol sont nettoyés au jet d'eau. Il semble que l'on ait cultivé dès 1523 la canne à Cuba où elle a trouvé les meilleures conditions de croissance : climat chaud, sols humides et, juste avant la coupe, une période sèche propice à la concentration du saccharose. En 1620, Cuba produisait 550 tonnes ; en 1987, plus de 7 millions. Les sacs de 50 kilos sont expédiés durant la guerre froide surtout vers les pays de l'Est mais également en Libye. Cuba est devenu le premier exportateur mondial de canne à sucre.

Alors que la traite était officiellement abolie, plus de 360 000 esclaves furent débarqués entre 1820 et 1860 au port de La Havane, qui comptait au début du siècle 40 000 Blancs et 30 000 esclaves. C'est seulement en 1886 que fut supprimé l'esclavage, fondement de l'économie coloniale, source des richesses de toute l'aristocratie créole.

Les luttes pour l'indépendance remontent au milieu du XIXe siècle avec la guerre des dix ans qui débuta en 1868; Les États-Unis intervinrent dans la guerre d'indépendance cubaine qui avaient fait 200 000 morts depuis 1895 (soit 1/8 de la population) pour aider les indépendantistes et occupèrent l'île de 1898 à 1902, puis de 1905 à 1909. Les États-Unis poursuivirent une ingérence marquée jusqu'en 1934 (révocation de l'« amendement Platt »).

Fidel Castro
Fidel Castro

Fidel Castro prit la tête d'une armée rebelle en 1956, renversant le dictateur Fulgencio Batista le 1er janvier 1959. Il dirige Cuba jusqu'au 31 juillet 2006 puis c'est son frère Raúl Castro Ruz qui, après avoir assuré l'intérim du pouvoir, est élu le 24 février 2008 président du Conseil d’État et du Conseil des ministres par l’Assemblée nationale.

Les États-Unis sont l'une des premières nations à reconnaître diplomatiquement ce nouveau gouvernement, mais les rapports entre les deux pays se gâtent dès le mois de mai lors de la confiscation des avoirs étrangers (dont ceux de United Fruit Co) à Cuba. Par la suite, du 17 au 19 avril 1961 eut lieu une tentative de débarquement à la Baie des Cochons de 1 400 réfugiés, recrutés, payés et entraînés par la CIA américaine, qui se solda par un échec. Les États-Unis mirent en place un embargo économique en 1962, mais renoncèrent à toute invasion de Cuba aux termes d'un accord signé pour conclure l'affaire des missiles de Cuba. Le pays fut longtemps soutenu par l'URSS qui lui accordait une aide (4 à 6 milliards USD par an jusqu'en 1990) en échange de son alignement sur sa politique (envoi de forces cubaines dans plusieurs pays d’Afrique dont la République Démocratique du Congo dit ex-Zaïre, soutien aux mouvements révolutionnaires d’Amérique latine), mais fait face à une grave crise économique depuis la disparition du « grand frère soviétique ».

[modifier] Figures connues

[modifier] Géographie

Carte de Cuba
Carte de Cuba
Icône de détail Article détaillé : Géographie de Cuba.

La République de Cuba est située entre la mer des Caraïbes et l’Atlantique Nord, au sud de la Floride et des Bahamas. C’est un archipel composé de l’île de Cuba, longue de 1 220 km (qui fait d’elle la plus grande île des Antilles), de l’île des Pins (île de la Jeunesse) et d’environ 1600 îlots. Géographiquement, elle se trouve à proximité du tropique du Cancer, à 77 km d’Haïti à l’est ; à 140 km de la Jamaïque, au sud-est ; à 180 km des États-Unis, au Nord-Est ; et à 210 km du Mexique, à l’ouest. La République comprend l’île entière ainsi que la Isla de la Juventud (Île de la Jeunesse), mais la baie de Guantanamo occupée depuis 1898 par les États-Unis était à l’origine louée depuis 1903 et une base navale a été installée (que les États-Unis maintiennent malgré l’opposition du gouvernement cubain).

[modifier] Climat

Cuba est régulièrement frappée par des cyclones pendant l’été et l’automne. Le 8 juillet 2005, l’ouragan Dennis a fait 16 morts selon les autorités et provoqué d’importants dégâts. Plus d’un million et demi de personnes furent obligées d'évacuer. Avec des vents de 300 km/h, il est passé à la catégorie 4 de l’échelle de Saffir-Simpson qui compte 5 catégories. Le caractère avancé de cet ouragan a été souligné. En août 2005, l’ouragan Katrina n'a fait qu’un mort à Cuba (1 500 aux États-Unis).

Face à des situations de crises régulières que causent les ouragans, le peuple cubain et l’État ont acquis une certaine expérience et mis en place une logistique permettant de protéger les maisons des vents sauvages et des tsunamis assez fréquents dans l’île.

[modifier] Provinces et villes

Icône de détail Articles détaillés : Villes de Cuba et Provinces de Cuba.

Le pays est divisé en 14 provinces : Holguín, Santiago de Cuba, Villa Clara, Granma, Camagüey, Pilar del Rio, La Habana, Matanzas, Guantanamo, Las Tunas, Sancti Spiritus, Ciego de Avilla, Cienfuegos et la Ciudad de La Habana, plus la municipalité spéciale Isla de la Juventud ou Isla de Pinos.

Les principales villes du pays sont :

[modifier] Politique

Icône de détail Articles détaillés : Politique de Cuba, Embargo des États-Unis contre Cuba et Composition du gouvernement de la République de Cuba.

Cuba se présente comme un pays socialiste, une république parlementaire - où le Parti communiste est le seul parti politique reconnu par la Constitution. Fidel Castro est le chef de l'État et du gouvernement depuis 1959, d’abord comme premier ministre et ensuite, à l’abolition de cette charge en 1976, comme président du Conseil d’État. Il est aussi le représentant à l’Assemblée nationale de la municipalité de Santiago de Cuba depuis 1976, Premier Secrétaire du Parti communiste cubain et commandant en chef des forces armées.

Le parlement cubain est l’Assemblée nationale (Asamblea Nacional del Poder Popular). Ses 614 membres sont élus pour 5 ans au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. L’Assemblée nationale élit en son sein le Conseil d’État et son président par un vote à bulletin secret.

Suite à la crise des missiles, l’île subit un embargo de la part des États-Unis, depuis 1962. L'embargo ne porte toutefois plus sur les médicaments, les matériels de télécommunications et les produits agro-alimentaires[1], faisant des États-Unis le premier exportateur pour l'économie cubaine, particulièrement dans le secteur alimentaire : le montant des exportations américaines vers l'île s’élève aujourd’hui à 500 millions de dollars par an[1].

Fidel Castro a passé en 2008 le pouvoir à son frère, Raul Castro.

[modifier] Élections

Des élections municipales se sont tenues le 21 et 28 octobre 2007, ayant désigné pas moins de 15 000 délégués dans les 169 assemblées municipales.

Ces élections rentrait dans le cadre d'un processus électoral d’importance. Ainsi, selon la Constitution cubaine, c’est le seul scrutin permettant aux électeurs cubains de choisir directement leurs représentants.

Associés aux délégués des 14 assemblées provinciales qui ont été également renouvelés, les délégués municipaux ont désignés à leurs tour les candidats à l’"Assemblée nationale du pouvoir populaire" qui compte 614 députés.

Celle-ci a élu en mars 2008 les 31 membres du Conseil d’État qui, selon la constitution cubaine, ont investi le 24 février 2008, Raúl Castro, président de la république de Cuba.

[modifier] Économie

Icône de détail Article détaillé : Économie de Cuba.
Puits de pétrole cubain
Puits de pétrole cubain

Au lendemain de la prise de pouvoir, le régime castriste nationalise 90% du secteur industriel et 70% des terres agricoles[2]. Le gouvernement cubain met en place une économie planifiée. La plupart des moyens de production sont contrôlés par l’État et la plupart de la main-d’œuvre est employé dans le secteur public. Ces dernières années le secteur privé s’est développé. En 2000, le secteur public représentait 77,5% des emplois et le secteur privé 22,5% alors qu’en 1981 le rapport était de 91,8% et 8,2%[3]. L’investissement est réglementé et la plupart des prix sont fixés par les autorités publiques.

La chute de l’Union soviétique et du COMECON qui priva l’île de ses principaux partenaires commerciaux et l’embargo des États-Unis eurent de lourdes conséquences sur l’économie cubaine. L’économie cubaine dépendait de l’aide et des débouchés du COMECON. L’Union soviétique achetait le sucre cubain à un prix supérieur au prix du marché et fournissait du pétrole à bas prix. En 1992, le niveau des échanges avec les pays de l’ex-COMECON représentait moins de 7% du niveau de 1989. Dans le même temps, le PNB cubain chuta de plus de 35%, les revenus par habitant de 39%. Sans pétrole et par manque de matériel, l’agriculture cubaine fut décimée ; les coupures de courant étaient fréquentes, la faim et la sous-alimentation étaient répandues.

Face à cette crise économique, Cuba libéralisa un peu son économie. Le développement d’entreprises privées de commerce et de manufactures fut permis, ainsi que la légalisation du dollar américain dans les magasins pour un temps (non permis depuis 2004). Le tourisme fut aussi encouragé. En 1996, l’activité touristique représentait plus que la culture de la canne à sucre en termes de devises. 1,9 million de touristes ont visité l’île en 2003, pour l’essentiel des touristes venant du Canada ou de l’Union européenne, générant 2,1 milliards de dollars de revenus[4].

Depuis 2001, suite à un allègement de l'embargo, les sociétés américaines peuvent vendre certains produits agroalimentaires et des médicaments à Cuba. Néanmoins, ce commerce s'effectue à sens unique et Cuba ne peut toujours exporter aucune marchandise à destination des Etats-Unis.[5] Les États-Unis sont le troisième fournisseur de Cuba avec 11% des importations en 2006 [6].

[modifier] Démographie

Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d’habitants.
Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d’habitants.
Icône de détail Article détaillé : Démographie de Cuba.

Principaux indicateurs démographiques(2004) [7]:

  • Taux de natalité :11 pour mille habitants
  • Taux de mortalité : 7 pour mille habitants
  • Taux de mortalité infantile : 6 pour mille
  • Espérance de vie des hommes : 75 ans
  • Espérance de vie des femmes : 79 ans

Deux millions de Cubains, soit 11 % de la population du pays, vivent en exil, à l'extérieur de l'île[8].

[modifier] Un pays sans analphabètes

Selon le PNUD, Cuba se situe au troisième rang mondial avec un taux d'alphabétisation de 99,8 % (rapport 2006 sur le développement humain[9]), à égalité avec l'Estonie et devant les États-Unis (93,3 %).

[modifier] Culture

Icône de détail Article détaillé : Culture de Cuba.
cigare Cubain
cigare Cubain

L’île de Cuba est réputée notamment pour :

  • les cigares, notamment les Habanos et les Cohiba, cigares cubains de renommée mondiale,et aussi cedric plante
  • le rhum, surtout le Havana Club (dont le añejo, i.e. vieilli de 7 ans). Le rhum est une eau-de-vie brûlante obtenue par fermentation et distillation du jus de canne.
  • la musique cubaine a produit un grand nombre de genres musicaux dont le mambo et le cha-cha-cha, le son dont Buena Vista Social Club a permis la redécouverte, le boléro… Aujourd’hui elle s’exprime avant tout par la timba (proche de la salsa) et le reggaeton. Elle s'inspire aussi de la rumba congolaise, pour cause, la forte communauté originaire d'Afrique centrale (ex-Zaïre) depuis l'esclavage.

Des chansons comme Guajira Guantanamera, Hasta Siempre, Quizás, quizás, quizás sont mondialement célèbres…

Genres par ordre chronologique : Conga | Punto guajiro | Guaracha | Tumba francesa | Contradanza | Rumba | Habanera | Trova | Changui | Danzón | Boléro | Son | Guajira | Mambo | Jazz afro-cubain | Filin | Cha-cha-cha | Pachanga | Nueva Trova | Songo | Timba

  • les vieilles voitures américaines (classées dans le patrimoine cubain, c.-à-d. qu'on ne peut les acheter et les faire sortir de l’île)
  • le révolutionnaire argentin Ernesto Guevara dit le "Che", aux côtés duquel Fidel Castro mena la révolution cubaine.
  • la santeria, religion syncrétique d'origine africaine, très présente dans la société cubaine. Selon l'historienne et anthropologue María I. Faguaga, la majorité de la population tient compte des prophéties publiée chaque année dans la Lettre de l'année publiée par les babalaos, les prêtres de la santería[10].
  • les Cubains sont peu équipés en matériel informatique (3,3 ordinateurs pour 100 habitants, c’est-à-dire l’un des taux les plus faibles du monde)[11]
Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
1er janvier Jour de la Libération Día de la Liberación
26 juillet 26 juillet 1953, attaque de la Moncada Día de la Revolución
25 décembre Jour de Noël Jusqu'en 1998, le régime castriste
avait supprimé le jour de Noël[12]

[modifier] Codes

Cuba a pour codes :

[modifier] Notes et références

  1. ab James McKinley, « Ces Américains qui commercent avec Cuba », dans International Herald Tribune, cité dans Courrier International du 14-11-2007, [lire en ligne]
  2. Encarta 2003
  3. http://www.oxfamamerica.org/newsandpublications/publications/research_reports/art3670.html/pdfs/social_policy.pdf [pdf]
  4. Cuba (11/07)
  5. (fr)Les Etats-Unis, fournisseurs malgré l’embargo, Sara Roumette, RFI, 25 avril 2004
  6. Pascal Boniface L'année stratégique 2007 : Analyse des enjeux internationaux, Dalloz-Sirey, Paris, 7 septembre 2006, 611 pages, (ISBN 2247069517)
  7. Population et sociétés, Bulletin annuel d’information de l’INED, n°414, juillet-août 2005, [lire en ligne] [pdf]
  8. Collectif, Charles Ronsac (dir.), Le livre noir du communisme, Robert Laffont, 2000, ISBN 2221088611, p.777
  9. http://hdr.undp.org/hdr2006/statistics/countries/country_fact_sheets/cty_fs_CUB.html
  10. Raquel Sierra, « Préparez-vous aux colères du ciel ! » dans Courrier international du 29-01-2008, [lire en ligne]
  11. Sylvie Kauffmann, Martine Jacot, Brice Pedroletti, « La censure sur Internet : États contre cyberdissidents », dans Le Monde du 29/08/2007, [lire en ligne]
  12. « Les Rois mages malvenus à Cuba », dans Libération du 09/01/2007, [lire en ligne]

La Révolution cubaine diversifie ses partenariats [1]

[modifier] Bibliographie

  • Fidel Castro Biographie à deux voix (2007) - De Ignacio Ramonet [2].
  • Washington contre Cuba (2005), Salim Lamrani, Howard Zinn, Noam Chomsky, Éditions Le Temps des Cerises, ISBN 2-84109-587-6
  • Cuba face à l’empire (2006), Salim Lamrani, Éditions Timéli, ISBN 2-940342-15-6
  • La Filière terroriste du FBI contre Cuba (2006), Jean-Guy Allard, Éditions Timéli, ISBN 2-940342-19-9
  • Cuba est une île (2004), Danielle Bleitrach, Viktor Dedaj avec la participation de Jacques-François Bonaldi, Le Temps des Cerises, ISBN 2-84109-499-8
  • Le Pas suspendu de la Révolution. Approche critique de la réalité cubaine (2001), ouvrage collectif coordonné par Yannick Bovy et Eric Toussaint, Éditions du Cerisier, Mons, Belgique. Préface de Manuel Vazquez Montalban. Photos de Yannick Bovy et Mathieu Sonck. [www.zogma.org]
  • Cuba especial (2001) - Éditions Quinoa [3].
  • Fidel Castro, Cuba et les États-Unis (2006), Conversations avec Ricardo Alarcon de Quesada, Salim Lamrani, Éditions Le Temps des Cerises, ISBN 2-84109-636-X
  • 1902-2002. Centenario de la República Cubana, William Navarrete et J. de Castro, Ed. Universal, Miami, 2002, 542 pages, ISBN 0-89729-979-5.
  • La Lune et le caudillo, Jeannine Verdès-Leroux, Ed. Gallimard, Paris, 1989, ISBN 9782070780181.
  • Cuba la faillite d’une utopie, Olivier Languepin, Ed. Gallimard, Folio, Paris, 2007, ISBN 207034598X.
  • La Prostitution à Cuba, Sami Tchak, Ed. L'Harmattan, Paris, 1999, ISBN 2-7384-8185-X.
  • Coucher de soleil sur La Havane - La Cuba de Castro 1959-2007, Pierre Rigoulot, Éditions Flammarion, Paris 2007, ISBN 978-2-0806-8407-3.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

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