Armée estonienne
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Les Forces de Défense Estoniennes, nom de l' armée de l'Estonie est de constitution récente et d'un format très modeste.
En 2006, ce pays consacrait 2% de son PNB à sa défense soit un budget de la défense de 214 millions de dollars américain contre 155 millions en 2002.
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[modifier] Historique
La fin de la guerre froide et l'éclatement de l'Union soviétique a permis au pays de recouvrer son indépendance en 1991, qui recrée de toutes pièces ses forces armées qui avaient, en 2000, seulement 4 000 soldats au total et 5 120 en 2005.
Cette nation possède également un corps de volontaires, de la Ligue de Défense (Kaitseliit) avec 10 000 réservistes.
Ayant adopté une attitude prudente face à la Russie, ce pays compte sur son alliance militaire avec l'OTAN dont elle à adhéré en 2004, qui prévoit, entre autres choses, de protéger l'espace aérien de ce pays et économique avec l'Union européenne en cas de crise internationale.
Elle participe à la mesure de ses ressources limitées aux missions à l'étranger sous le commandement des Nations Unies ou de l'OTAN et un contingent impliqués dans la guerre en Irak. Elle participe à la MSU de la KFOR au Kosovo et est à la Force intérimaire des Nations unies au Liban renforcée en 2006.
[modifier] Formation
La plupart des cadres de la nouvelle armée estonienne ayant été formé à la soviétique, ceux-ci doivent s'adapter, aujourd'hui, aux tactiques et modes de fonctionnement des armées occidentales, suivant entre autres des cours accélérés d'anglais afin de pouvoir intégrer le nouveau Baltic Peace-Keeping Batallion (BALBAT) mis à la disposition de l'ONU.
Il à noter que le général Alexander Einselm, chef d'état-major de l'armée estonienne de 1993-1995 est un ancien béret vert de l'US Army, au sein duquel il a servi durant la guerre du Viêt Nam.
[modifier] Dispositif de l'armée de terre (Maavägi)
État-major général, implanté à Tallinn
Bataillon de la garde, stationné à Tallinn
Bataillon d'infanterie légère Kuperjanov, stationné à Vôru
Bataillon d'infanterie légère Viru, Jõhvi
Bataillon d'infanterie légère "Scoutspataljon" à Paldiski
Bataillon de transmissions, Tallinn
Batterie de défense antiaérienne, Tapa
Batterie d'artillerie, Tapa
Bataillon de sapeurs, Tapa
[modifier] Forces aériennes (Õhuvägi)
Ce pays à une petite armée de l'air possédant plusieurs hélicoptères et avions légers de transport ainsi qu'une centaine de batteries anti-aériennes, son réseau radar est relié à celui de l'OTAN.
[modifier] Marine (Merevägi)
À compléter