Ambulancier

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Ambulancier
Noms officiels Ambulancier
Secteur d'activité Transport/Logistique/Paramédical
Compétences
Salaire 1100 € à 1350 € en début de carrière
Formation Certificat de capacité d’ambulancier
Portail des métiers

Un ambulancier est un professionnel de santé paramédical qui à pour rôle le transport et la surveillance de malades ou de blessés, ainsi que l'administration des premiers secours seul ou assisté d'une équipe médicale.

La notion et le rôle de l'ambulancier varie en fonction des pays. En France, elle est très différente du technicien ambulancier québécois exerçant comme paramedic.

Sommaire

[modifier] Rôle et formation

Le rôle et la formation des ambulanciers dépendent de l'organisation des secours dans chaque pays.

Dans les pays ou zones où la médicalisation est fréquente et décidée dès l'appel téléphonique, le cas notamment des pays ayant développé un Samu (comme la France et la Belgique), le rôle des ambulancier est le transport d'une victime stabilisée (c'est-à-dire dont l'état de santé est peu susceptible d'évoluer dans l'heure qui suit) ; dans le cas inverse, ils sont assistés d'une équipe médicale composée généralement d'un infirmier et d'un médecin.

Dans les pays où la médicalisation est rare ou inexistante, le médecin est appelé en renfort par l'ambulancier, ou dans quelques cas est envoyé en première intention (cas des pays anglo-saxons, de l'Europe du Nord et de la Suisse) : les ambulanciers se voient déléguer des gestes médicaux pour pouvoir transporter des victimes instables (paramedics).

Les formations proposées varient en fonction de la nature de l'activité de l'ambulancier. Ceux ayant une formation de secourisme peuvent transporter les victimes stables ou assister l'équipe médicale. Leur formation s'échelonne entre 90 et 800 heures de formations, concernant notamment les gestes de premiers secours. Les paramedics se voient déléguer des gestes médicaux dans le cadre d'un protocole de soins (intubation trachéale, pose d'une perfusion, administration de médicaments), et dont la formation dure de 900 à 5000 h.

[modifier] Caractéristiques du métier

  • Ce n'est pas un médecin : mais il doit faire un bilan à partir d'une histoire, de signes, de symptômes afin d'administrer les gestes de premiers secours et transmettre un bilan complet au médecin régulateur.
  • Ce n'est pas un infirmier : mais il applique des techniques de soins infirmiers dans l'ambulance pour assurer des positions correctes et de confort au patient pendant le voyage.
  • Ce n'est pas un travailleur social : mais il est souvent approché par des gens souffrant, ou bien des personnes âgées sans chauffage ou nourriture, vivant dans de pauvres conditions ; ou par des enfants abandonnés. Il doit comprendre la complexité des lois des malades mentaux.
  • Ce n'est pas une sage-femme : mais il a l'occasion de faire des accouchements à domicile ou dans l'ambulance ou dans des environnements non convenables pour la mère ou le bébé.
  • Ce n'est pas un policier : mais il doit comprendre les lois du Code de la Route et les appliquer.
  • Ce n'est pas un sapeur-pompier : mais il doit comprendre et appliquer les techniques de sauvetage dans les accidents, les effets des chargements toxiques.
  • Ce n'est pas un mécanicien : mais il doit avoir des connaissances de base en mécanique pour réparer les pannes et entretenir les véhicules.
  • Ce n'est pas un sociologue, un psychologue : mais il doit aider les gens dans des situations de détresse, dans les attitudes affectives et connaître la conduite acceptable suivant les cultures particulières. Il est amené à donner son avis sur des cas quand le médecin régulateur le lui demande.
  • Ce n'est pas un directeur : mais il dirige une situation, projette à court terme, utilise des ressources propres pour achever un objectif établi, et manipule l'environnement pour conduire l'objectif.
  • Ce n'est pas un physiologiste : mais il doit être capable d'identifier les effets des accélérations sur le blessé ou les organes affectés, causés par les différents changements de direction et de décélération du véhicule.
  • Ce n'est pas un pilote de course : mais il doit conduire vite et confortablement quand cela le nécessite.

[modifier] Exercice par pays

[modifier] En France

Ambulance privée strasbourgeoise.
Ambulance privée strasbourgeoise.

On distingue deux catégories : les auxiliaires ambulanciers et les ambulanciers diplomé d'état .

[modifier] Auxiliaires ambulanciers

Jusqu'en 2006, on parlait d'ambulancier catégorie 1. Le terme a été changé en auxiliaire ambulancier par un arrêté (26 janvier 2006) qui rend obligatoire à compter du 1er janvier 2008 une formation initiale de 70 h dispensée dans un IFA ( institut de formation ambulancier)

Le poste de conducteur ambulancier n'existe plus, il correspondait à un personnel avec une formation secouriste (AFPS) , à jour de ses vaccinations obligatoires et possédant le permis de conduire taxi ambulance valide. Sa seule place ne pouvait donc être qu'au volant de l'ambulance, puisque le VSL requiert au moins une formation secouriste, il était donc l'équipier (de plus bas niveau professionnel) du Chef de Bord (CCA, DA).

Le professionnel titulaire du poste d’auxiliaire ambulancier assure la conduite du véhicule sanitaire léger ou est l’équipier de l’ambulancier, dans l’ambulance. Il peut conduire une ambulance (véhicule permettant le transport allongé, véhicule sanitaire de « catégorie A » ou « C » au sens du décret n°87-965 du 30 novembre 1987 relatif à l'agrément des transports sanitaires terrestres) en équipe avec un professionnel possédant le Diplôme d'Etat d'Ambulancier (DEA), ou bien conduire seul un véhicule sanitaire léger (VSL, véhicule sanitaire de « catégorie D »), c'est-à-dire une voiture blanche sans avertisseurs spéciaux, flanquée de croix bleues de chaque côté et sur le capot, permettant le transport sanitaire assis d'un patient autonome ou demandant une assistance légère au déplacement.

L’auxiliaire ambulancier doit disposer à dater du 1er janvier 2008 :

  • d’un permis de conduire conforme à la règlementation en vigueur et en état de validité ;
  • de l’attestation préfectorale d’aptitude à la conduite d’ambulance après examen médical effectué dans les conditions définies à l’article R. 221-10 du code de la route ;
  • d’un certificat médical de vaccinations conforme à la règlementation en vigueur fixant les conditions d’immunisation des professionnels de santé en France.
  • d'un attestation médicale de non-contre indication à la profession d'ambulancier délivrée par un médecin figurant sur la liste départementale des médecins agréés par la préfecture.
  • de l'AFGSU niveau 1 (Attestation de Formation aux Gestes et Soins d'Urgence) ou d’une formation équivalente reconnue par le ministère chargé de la santé, entre le 1er janvier 2008 et le 1er janvier 2010, pour les auxiliaires ambulanciers en premier emploi dans cette fonction qui excercent pendant une période cumulée au plus égale à trois mois ; ou pour les professionnels qui exercent cette fonction pendant une période cumulée supérieure à trois mois et pour tous les personnels au-delà du 1er janvier 2010, à l’exception de ceux ayant déjà assuré de telles fonctions avant cette date :
    • d'une attestation de stage de découverte de 140 heures effectuées dans un centre ambulancier.
    • d’une attestation de formation de 70 heures avec évaluation des compétences acquises. Cette formation porte sur l’hygiène, la déontologie, les gestes de manutention, les règles du transport sanitaire et sur les gestes d’urgence en vue de l’obtention de l’AFGSU niveau 2 ou d’une formation équivalente reconnue par le ministère chargé de la santé. Cette formation est délivrée par les instituts de formation autorisés pour la formation au diplôme d’ambulancier.
    • de l'AFGSU niveau 1 et 2 (21 heures en moyenne) ou d'une formation équivalente reconnue par le ministère chargé de la santé.

[modifier] Ambulanciers

Pour exercer, un ambulancier doit disposer d’un diplôme délivré par le préfet de région (DRASS) qui atteste les compétences requises pour exercer la profession.

Depuis le 2 septembre 2007, le CCA (certificat de capacité ambulancier) et le DA (diplôme d'ambulancier) sont devenus Diplôme d'État d'Ambulancier (DEA), selon le décret 2007-1301, avec effet rétroactif (les détenteurs diplômés antérieurs sont détenteurs du DEA par équivalence).

La formation est effectuée dans un Institut de Formation Ambulancier (IFA), le pré-requis à l'admission est celui de l'auxiliaire ambulancier (attestations médicales, attestation de conduite, permis de conduire valide, stage de découverte 140 heures, AFGSU niv.2, formation 70 heures). Certains IFA proposent les formations consécutives : Auxiliaire ambulancier + AFGSU 1 et 2 + DEA (stages compris), soit un total moyen de 721 heures de formation. D'autres IFA n'offrent pas cette solution, il faut donc posséder le diplôme professionnel d'auxiliaire ambulancier pour accéder à la formation DEA. Toutefois, l'examen d'admission est une constante dans tous les IFA. Certains niveaux de formation des carrières de santé permettent d'être exonéré d'une partie des épreuves d'admission. Il faut se renseigner auprès de son IFA pour en connaître les modalités.

[modifier] Rôle au sein de compagnie privées de transport en ambulances

Les entreprises d'ambulances privées sont agréées pour effectuer des transports sanitaires. Elles emploient des personnels de santé (auxiliaires ambulancier, ambulanciers CCA/DA/DEA), du personnel administratif et du personnel technique (entretien, maintenance). Elles assurent le transport sanitaire allongé, semi-allongé, assis avec surveillance ou sans surveillance, à l'aide de véhicules spécialement aménagés, de personne malade, blessée ou parturiente (femme qui va accoucher) du lieu ou elles séjournent vers une structure de soin, et/ou inversement, en cas d'urgence (Agrément 1) ou en cas de soins, traitement ou diagnostic sur prescription médicale (Agrément 2) cela inclus les consultations, hospitalisations médicales ou chirurgicales (entrée/sortie), les soins récurrents (dialyse, chimiothérapie, radiothérapie et traitements ittératifs...). Les transports sanitaires sont remboursés sous conditions médico-administratives par l'Assurance maladie suivant la législation et la réglementation en vigueur. Les ambulanciers privés se chargent aussi des transports entre les structures de soins ou plateaux médico-techniques (transports dits secondaires ou transferts inter-hospitaliers).

Dans le cadre de l'agrément numéro 1, les entreprises d'ambulances privées sont tenues de participer dans la mesure de leurs moyens techniques et humains à l'Aide Médicale Urgente et la Permanence Des Soins (AMU-PDS). Chaque entreprise peut ainsi mettre journellement un ou plusieurs équipages à la disposition du SAMU qui les missionnent pour des évacuations (transports sanitaires primaires médicalisés ou non) vers les services d'urgence des hôpitaux privés ou publics. Suivant la législation, le lieux d'intervention n'est pas exclusif, Ils peuvent donc être amenés à effectuer des missions de secours à personne sur la voie publique. Néanmoins, ils n'ont pas la capacité et la responsabilité du dégagement de victimes incarcérées ou enfouies. En cas de carence d'ambulances privées (absence de moyen), le SAMU peut missionner un Véhicule de Secours et d'Assistance aux Victimes (VSAV) des Sapeurs-Pompiers mais ceux-ci n'ont pas pour mission première d'effectuer des transports sanitaires et leurs interventions ne doivent qu'exceptionnellement les conduire à de tels actes. La législation précise de manière formelle, que l'action de prompt-secours (acte réflexe d'une équipe de secouriste face à une détresse vitale) cesse à l'arrivée de l'équipage ambulancier sur le lieux d'intervention. Les ambulances privées sont règlementairement des « véhicules d'intérêt général bénéficiant de la facilité de passage », ce qui implique de la part des autres usagers qu'ils doivent libérer les voies de circulation pour faciliter le passage de l'ambulance. Un usager qui ralentirait ou bloquerait intentionnellement la progression de l'ambulance pourrait faire l'objet d'un plainte auprès de Monsieur le Procureur de la République qui aboutirait à une sanction. Les ambulances privées deviennent aussi des « Unités Mobiles Hospitalières » (UMH) bénéficiant de la priorité de passage lorsqu'elles sont missionné par le SAMU ou au cours de la garde ambulancière départementale » (art. R311-1 du code de la route, véhicule de catégorie A ou C selon l'arrêté du 10 juin 1998 NOR : EQUS9800722A), (Ministère des Transports, décret n°2007-786 du 10/05/07).

Il y a deux types d'ambulances :

  • Les ambulances de catégorie A ou ASSU (Ambulance de Soins et de Secours d'Urgence), qui servent exclusivement aux transports de malades allongés ou semi-assis avec surveillance.
  • Les ambulances de catégorie C, dit de petit volume, qui servent pour tout les transports de malades allongés, semi-assis avec surveillance ou assis.

Elles sont munies d'avertisseurs spéciaux qui peuvent être actionnés lorsque la mission est urgente :

  • feux bleus à éclat (flashs) (art. R313-27 du CR et arrêté du 30 octobre 1987 NOR : EQUS9800722A) ;
  • avertisseur sonore (sirène) deux tons en trois temps(pin-pon-pin…)(art. R313-34 du CR et arrêté du 30 octobre 1987).

Au même titre que les autres véhicules prioritaires (véhicules de lutte contre l'incendie, police, gendarmerie...), les articles R432-2 et 3 du code de la route leur octroient des dérogations lorsque les avertisseurs spéciaux sont activés (avertisseur lumineux, sonore). L'usage de l'avertisseur sonore doit toutefois rester ponctuel et limité à la prévention ou l'évitement des accident pendant le déplacement du véhicule, si l'urgence de la mission le justifie et à condition de ne pas mettre la sécurité des autres usager en péril, sur les points suivants :

  • franchissement des intersections protégées par des feux tricolore, panneaux de signalisation cédant la priorité, etc. ;
  • dépassement des vitesses limites ;
  • sur voie express et autoroute : stationnement, circulation sur la bande d'arrêt d'urgence, marche arrière et demi-tour ;

mais ces véhicules se doivent de respecter toutes les règles de priorité, en particulier aux abords : des intersections de voies prioritaires, pendant le franchissement des feux tricolore lorsqu'ils sont au rouge, des panneaux stop, cédez le passage, priorité à droite et priorité aux piétons. Dans le cas des piétons, il est demandé de prendre une large marge de sécurité et le maximum de précaution pour éviter les accidents de circulation, considérant que ces usagers démontrent, particulièrement en zone urbaine dense en raison de la réverbération sur les façades d'immeubles, une mauvaise perception spatiale et des difficultés d'identification à l'approche des véhicules prioritaires en intervention.

[modifier] Organisation de la garde ambulancière départementale et régulation des transports sanitaires urgents

La participation à la garde ambulancière est obligatoire suivant leurs moyens techniques et humains pour toutes les entreprises de transports sanitaires (sauf dérogation préfectorale). Elle est organisée dans chaque département par l'Association départementale des transports sanitaires d'urgence (ATSU, statuts-type publiés au J.O.), regroupant les entreprises d'ambulances privées. L'équilibre financier de l'entreprise de permanence est assuré par le paiement des transports effectués (réduit de 60% du tarif S.S.), ainsi que le paiement par l'Assurance Maladie d'un forfait de garde de 346 € pour compenser la mise à disposition de l'équipage de permanence pendant 12 heures d'amplitude journalière. Pour répondre à ces permanences départementales, l'entreprise place l'équipage ambulancier et le véhicule ambulance sous les ordres et à la disposition du CRRA/centre 15 (SAMU). Au cours de cette période, l'équipage (deux professionnels, dont un au moins possédant le DEA) est rémunéré par son entreprise pour 12 heures qui entrent dans son amplitude hebdomadaire de travail. Dans ce cas, l'équipage est obligatoirement de repos 11 heures avant et 11 heures après sa permanence (Confèrer accord cadre du 4 mai 2000. Convention Collective Nationale des transports routiers, section transports sanitaires).

Selon les départements et les accords entre le CRRA/C15 et L'ATSU départementale, les entreprises d'ambulances peuvent mettre à disposition une personne au CRRA/C15 afin de réguler les demandes de transport sanitaire dans le cadre de la garde départementale. Ceci permet de dégager le PARM (permanancier du CRRA/C15) de cette tâche.

[modifier] Rôle au sein d'un SMUR

Dans les Services Mobiles d'Urgence et de Réanimation (SMUR), l'équipage d'une Unité mobile hospitalière (UMH) comprend un ambulancier titulaire du diplôme d'État d'ambulancier et de la Formation d'adaptation à l'emploi (FAE) d'ambulancier de SMUR de la fonction publique hospitalière (arrêté du 26 avril 1999 J.O. Numéro 113 du 18 Mai 1999 page 7295).

Cette formation d'adaptation à l'emploi est validée par une attestation de suivi de formation délivrée par le centre d'enseignement des soins d'urgence (CESU)

[modifier] En Suisse

La situation dépend des cantons. Les premières lois sur l'équipement des ambulances et la formation des ambulanciers datent de la fin des années 1980 (cantons de Bâle, du Tessin, de Genève).

Dans le canton de Genève, la loi a été votée en 1987. La formation comprenait 900 h de cours et de stages pour des ambulanciers déjà en activité, en alternance sur trois ans, et a permis d'instaurer une base commune pour l'ensemble des partenaires du système de secours sanitaire.

En 1998, le canton adopte de nouvelles prescriptions proposées par la Croix-Rouge suisse (CRS), qui avait reçu pour mandat de réfléchir à l'évolution de la profession ; ces prescriptions proposent notamment de revaloriser la profession d'ambulancier au même niveau que les autres professions paramédicales. Les ambulanciers acquièrent ainsi une autonomie dans les gestes de sauvetage, et donc une délégation des gestes médicaux, selon le modèle du basic life support (BLS) et de l'advanced cardiac life support (ACLS) américain.

Il en résulte une formation d'environ 4 600 h sur trois ans, dont entre un tiers et une moitié de stage pratique. La première année est consacrée aux bases (anatomie, physiologie, approche psycho-sociale…), aux compétences professionnelles spécifiques (rôle professionnel, conduite, radiotéléphonie…) et à la prise en charge des patients stables ; elle comporte quatre stages : en orthopédie, dans des services d'ambulance privés ou publics, et deux dans le domaine de la personne âgée ou handicapée. La deuxième année est consacrée aux situations complexes, la troisième année aux situations exceptionnelles ; ces deux années comportent des stages en milieu hospitalier (urgences, anesthésiologie, pédiatrie, obstétrique et santé mentale), dans une centrale d'appel (centrale 144), à nouveau dans des services d'ambulance privés ou publics et dans un service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR). Puis, en troisième année, l'élève devra accomplir un travail de diplôme et un stage à option.

[modifier] Ressources connexes

[modifier] Textes législatifs

[modifier] Pour la France

  • Code de la santé publique, articles L.51-1 à L.51-5
  • Décret n° 87-965 du 30 novembre 1987 relatif à l'agrément des transports sanitaires terrestres (NOR : ASEP8701205D) modifié par les décret n°94-1208 du 29 décembre 1994, n°96-176 du 4 mars 1996, n°97-1186 du 24 décembre 1997, n°2001-532 du 20 juin 2001 et n°2003-674 du 23 juillet 2003
  • Arrêté du 21 mars 1989 relatif à l'enseignement, aux épreuves et à la délivrance du certificat de capacité d'ambulancier modifié par l'arrêté du 4 juin 2002
  • Décret n° 91-45 du 14 janvier 1991 portant statuts particuliers des personnels ouvriers, des conducteurs d'automobile, des conducteurs ambulanciers et des personnels d'entretien et de salubrité de la fonction publique hospitalière [1]
  • Arrêté du 10 janvier 1996 relatif à l'exercice de l'activité d'ambulancier des ressortissants des États membres de l'Union européenne et des autres États parties à l'accord sur l'Espace économique européen (NOR : TASP9620191A)
  • Arrêté du 23 juillet 2003 fixant les périodes de la garde départementale assurant la permanence du transport sanitaire (NOR : SANH0322762A)
  • Circulaire DHOS/O1 n° 2003-204 du 23 avril 2003 relative à l'organisation de la garde ambulancière
  • Arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l'auxiliaire ambulancier et au diplôme d'ambulancier (NOR: SANP0620487A)
  • Décret n°2007-786 du 10 mai 2007 modifiant l'article R.311-1 du code la route relatif à la liste des véhicules d'intérêt général prioritaires (NOR : EQUS0752455D)
  • Convention collective nationale des transports routiers et des activités auxiliaires du transport, N°3085.

Voir la page législation de l'Unah

[modifier] Bibliographie

  • La nouvelle formation professionnelle d'ambulanciers-ères à Genève, Ph. Zeller, E. Débenay et P.-F. Unger, Médecine & Hygiène

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes